BUKAVU-RDC : La vérité sur l’agression de Muchukiwa, DG de ISDR

ISDR-BUKAVU : La vérité sur l’incident du 8 Août 2020
L’incident du 8 Août 2020 n’est pas à minimiser car il reflète un sentiment de haine et de jalousie contre le Directeur Général de l’ISDR-BUKAVU Mr MUCHUKIWA. Ceux qui écrivent sur la situation de l’ISDR-BUKAVU avancent des thèses non fondées.
La Me gestion est prouvée par un audit financier et comptable fait par une équipe des experts neutres et impartiaux.
En février 2020, le ministère de l’ESU à Kinshasa a invité deux membres du comité de Gestion et deux membres de la délégation syndicale pour être entendus et présentés les preuves de me gestion. La délégation syndicale a foui et n’a jamais présenter les preuves de au procureur de la République à Bukavu. Les allégations et propos de me gestion sont donc non-fondés.
Le paiement de salaire des agents n’est pas à confondre avec la prime locale. Le Salaire mensuel est payé par l’Etat congolais qui le verse dans le compte bancaire de chaque agent de l’ISDR à la TMB. Ont droit de revendiquer leur salaire à l’Etat congolais, les agents N.U et NP, les dossiers de ces derniers sont en cours de traitement à Kinshasa.
Les information à notre possession, disent que la prime locale provient des contributions des étudiants qui doivent encore à l’institut 250000$ des première et deuxième tranches sans inclure la troisième tranche. Si cette somme est recouvrée, le Comité de Gestion de l’ISDR-BUKAVU peut payer les mois qui sont restés de l’année académique 2019-2020. Ceux qui écrivent qu’il y a onze mois de non-paiement des agents, fabriquent des données et versent dans le sensationnel pour diffamer le comité de gestion. Ce dernier est composé de quatre autorités nommées par arête ministériel dont le détournement des fonds ne peut être attribué qu’au seul Directeur Général de cette institution. De ce point de vue, il y a une manipulation d’information pour des fins de nuire à l’autorité numéro 1.
L’Assemblée Générale dont la délégation syndicale avance pour légitimer sa barbarie et usurpation du pouvoir n’est pas légale car l’Assemblée générale doit réunir ¾ des agents et doit être convoquée par le Comité de Gestion pour être valable. La délégation syndicale agit en dehors des limites de pouvoir définies par le code du travail et le ministère de l’ESU. En principe, la délégation syndicale n’est pas un organe statutaire d’un établissement de l’enseignement Supérieur et Universitaire mais plutôt un simple interlocutaire chargé de présenter légalement les doléances des agents à l’employeur pour la bonne marche de l’entreprise. De ce côté, il y a vice de procédure de la part de la délégation syndicale qui outre passe ses attributions et en faisant des communiqués, des déclarations et en vilipendant les membres du Comité de Gestion de l’ISDR-BUKAVU. Cette confusion est entretenue par les médias et quelques autorités qui ignorent les attributions de la délégation syndicale et la politise pour semer le désordre dans les universités et instituts supérieurs. La politisation de cette structure, a produit, l’assiégement de l’ISDR-BUKAVU pendant 6 mois, l’installation d’une bande armée pour déstabiliser le Comité de Gestion. Le Directeur Général accompagné par les éléments de la Police n’a agressé personne ni tiré ni tiré dans la foule car il venait à son bureau pour travailler de manière non-violente. Il se plaint d’être attaqué et menacé par un groupe des agents jaloux de sa bonne gestion de l’institut et prie que l’Etat congolais de mettre hors de la concession de l’ISDR-BUKAVU la bande armée et de l’aider à entrer dans son bureau pour travailler.
On ne peut pas chasser une autorité légalement établie de surcroit un DG sans acte contraire à celui qui l’a établi. Dans ce cas présent à l’ISDR-BUKAVU, c’est le tribalisme avéré que les médias de la place ne veulent pas dénoncer.


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